Incomprise de la vie.. ou presque!
Cette fois je crois que c'est bon, je commence à prendre le rythme des vacances. Après être allée à presque tous mes rendez vous et avoir réussi à négocier ma grasse matinée de demain matin, je peux me permettre d'avoir les yeux encore ouvert à cette heure ci.
Mon cerveau est en compote et ne me fait dire que des bêtises. A croire que je le fais exprès. La pression retombe, enfin. Les choses commencent à se planifier, doucement mais surement. Et ça c'est bon. Je commence enfin à voir le bout du tunnel. Je croise les doigts pour que ce fichu poste soit à moi et que je trouve l'appartement de mes rêves. Ca ne sera pas un loft au pied de l'Eiffel Tour, mais ça sera encore mieux. Parce que plus j'y réfléchis et plus je me vois là bas, dans cette ville, dans cet établissement. Et j'ai hate.
Cette fameuse page qui se tourne, avec une année en plus. Toujours aussi chieuse, mais toujours aussi adorable!
Il y a des choses et des comportements que je ne comprends toujours pas. Je crois que j'ai trop voulu retourner les choses dans tous les sens. Ce n'est pas bien, parce qu'au fond, trop de retournement tue le retournement. Il m'a dit d'arreter de trop réfléchir, et je crois qu'il avait raison. C'est fatiguant! J'attends et j'espère toujours plus. Parrait que c'est dans la nature de l'être humain! Mais au lieu de ca, je ferais mieux de me contenter et d'apprécier plainement ce que j'ai devant mon nez. Parce que c'est bien, parce que c'est beau! Oh yeah!
Laisser faire le temps... ou pas, et advienne que pourra.
Parrait que je lui manque et que la distance est un bon révélateur de sentiment. Parrait...
Mais lui, qu'est ce qu'il me manque putain!
En attendant il est tard, dis-est-ce-qu'au bitch passe en boucle dans mon ordinateur chéri pour me rappeler certains souvenirs... Et j'en profite pour me trémousser sur mon lit qui couine dans mon superbe ensemble de nuit tellement sexy que je peux me la péter. Non, je n'ai même pas honte! Sauf qu'un jour, en dormant, je me retrouverai le cul par terre mais ça, personne veut me croire... et c'est une autre histoire.
Vivement bientôt...