En panne de titre, mais j'assume!

Kate Nash me permet de garder les yeux ouverts encore un moment et me met le sourire aux lèvres. C'est déjà ça.

Je voudrais dire que les vacances filent à une allure qui me fait peur. Et je n'aime pas ça. Parce que oui, j'ai toujours aimé les vacances, encore plus depuis que je suis en études supérieures (ça fait bien de dire ça je trouve... tout de suite, ça me donne un certain grade et ça fait du bien à mon égo) et que je n'ai que 9 semaines de vraies vacances par an. Et le premier qui me parle de fac reçoit ma main dans la figure. Ca, c'est dit!

Du coup, là, trois semaines de vacances d'un coup (deux semaines de vraies vacances et une en bonus) c'est un peu inespéré. Forcément tout de suite on se fait des films, on met tout de côté, on se dit que c'est ça la vraie vie. Alors voilà, comme il fait un temps de chiotte (pluie, neige, neige, pluie... Qui a dit que nous étions au printemps?), que je veux pas entendre parler de mémoire, d'hopital, de stages et tout le tralala, je fais grasse matinée sur grasse matinée, je me shoot au thé vert (très diurétiquante cette petite chose), je passe de l'ordi à la télé et accessoirement je vais à la piscine 2 fois par semaine (même que ça me fait un bien fou). On ne me reprendra d'ailleurs plus à faire 100 longueurs, parce que j'ai bien cru que j'allais mourir sur place. Mais en fait non.
Et puis heureusement, de temps en temps quand même quelques sorties s'improvisent. Et ca fait du bien rien que de savoir ça. Alors demain soir je sors la retrouver. Au même endroit j'imagine. Après s'être perdues de vue quelques temps on se retrouve. Et j'aime ça. Savoir qu'on a grandit toutes les deux, qu'on a évolué pas forcément dans la même direction mais qu'on reste là l'une pour l'autre, savoir qu'on fait tout pour se voir une fois par mois, ça rassure.

Mes vacances à Paris (encore) se profilent petit à petit. Et ça aussi ça fait du bien. Parce qu'au fond, il n'y a pas de raison. Et que quelques jours ailleurs ne peuvent me faire que du bien. Alors voilà, j'ai mes billets, je sais quand j'arrive, je sais quand je pars. Je sais à priori qui je vais voir. Et j'ai hate! D'ailleurs je viens de me rendre compte que je n'avais toujours pas passé le fameux appel et que je vais me faire taper sur les doigts. Bouh la te-hon!
A partir de dimanche donc, et ce jusqu'à samedi je serai sur la Capitale, sans trop savoir comment mes journées seront occupées, mais j'y serai... Je crois que j'ai hate. Vraiment!

En attendant, à partir de demain, je me remets à la lecture de La consolante. Ma motivation est revenue alors autant en profiter... Surtout que j'ai une pile de nouveaux bouquins qui m'attend par la suite.